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expositions 2025
03.04.2025 > 13.04.2025
Tang - « Toto Solo show »
Vernissage le jeudi 3 avril jusqu’à 21 heures Exposition du 3 au 13 avril 2025 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Avoir envie ou besoin ? Qui sait.
Tout le temps dessiner depuis l'enfance et en
faire son métier pour ne jamais être employé, qui sait ?
Saisir des feutres, des crayons, des pinceaux pour grimper dans un imaginaire touffu. Voilà ce que j'aime le plus faire chaque jour.
Toto est travail récent, commencé en juin 2024. Une nouvelle branche à l'arbre qui pousse librement.
Né sous Pompidou dans la campagne iséroise, j'ai beaucoup dessiné jusqu’à de moles études de graphisme. Quelques années assis devant un écran m'ont motivées à m'eloigner des Macintosh pour voyager et exercer divers jobs avec gants ou casquettes siglées avant de clairement décider en 2003 d'avoir une activité artistique manuelle constante et productive. Après un long séjour à Tokyo je me suis installé à Lyon en 2011 et c'est là dans plusieurs ateliers/aventures successifs que je continue d'explorer différents thèmes sur des supports variés.
Dimanche 6 avril de 15 à 19 heures Parution et dédicace par l'artiste du livre « Musée Muses » consacré aux femmes surréalistes.
« JE PENSE QUE LES FEMMES N’ONT AUCUNE POSSIBILITE DE CRÉER, AUCUN TALENT ARTISTIQUE, PAR CONTRE ELLES ONT UN DON QUASI DIVIN DE CRÉTINISATION DE L’HOMME » disait Salvador Dali au JT de 20 heures le 18 décembre 1962. Alors forcément, on se dit qu’avec ce genre de raisonnement, le mouvement surréaliste n’a pas dû faire beaucoup de place aux femmes… Et pourtant !
Pour cette nouvelle édition du Musée Muses, le seul musée vandale consacré aux femmes de l’histoire de l’art, ce sont des dizaines de femmes peintres surréalistes qui sont mises en avant, ayant marqué par leur talent l’épopée de ce mouvement majeur du XXe siècle, et affichées dans la rue à l’occasion des célébrations des 100 ans des Manifestes Surréalistes.
De l’Amérique à l’Asie, des femmes artistes s’investissent dans le mouvement Surréaliste dès ses débuts, et une majorité d’entre elles rejoindront le groupe Surréaliste, français ou étranger, bénéficiant souvent du soutien d’André Breton (mais pas toujours…). S’il est vrai que dans l’imaginaire collectif, les femmes surréalistes sont soit les compagnes des hommes surréalistes -Gala, Dora Maar, etc.- soit LA femme qui a finalement dépassé son mari pour devenir à titre posthume une icône de l’art -Frida Kahlo, le mouvement regorge de femmes de talent, qui en ont partagé les grands moments et les passions -participant aux Expositions Internationales du Surréalisme, rejoignant les groupes surréalistes en exil pendant la guerre, effectuant ce voyage au Mexique qui apparait souvent dans leurs trajectoires, etc. tout en gardant chacune leur spécificité artistique et créative, qui les rend uniques et fascinantes, comme pour prouver à Salvador Dali à quel point il se trompe dans son affirmation délirante/décevante.
Ce deuxième Musée Muses nous présente donc la vie et l’œuvre de 29 femmes peintres majeures du Mouvement Surréaliste, nous offrant à la fois la preuve flagrante de la puissance créative des femmes, tout en esquissant une photographie humaine de ce mouvement où, à côté de la frénésie créative, les liens se lient et se délient entre les différents protagonistes du mouvement, entre hommes et femmes, entre peintres, poètes.ses et écrivain.es, et peut-être alors que c’est là qu’il faut chercher la fameuse « crétinisation de l’homme » dont parle Dali, mais il n’est pas du tout dit que ce soit les femmes qui en soient responsables, loin de là !
Bonne promenade sur les deux murs rue Ramey et rue Marcadet, sur les traces des Grandes Surréalistes !
Vernissage le jeudi 20 mars jusqu’à 21 heures Exposition du 20 au 30 mars 2025 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
RELIQUAT
Résidus de papiers assemblés en collages hasardeux.
Reliquat de bois et statuaire peinte.
Boîtes entomologiques.
Bault dévoile des nouvelles recherches expérimentales et singulières autour du bois et du collage.
Vernissage le jeudi 6 mars jusqu’à 21 heures Exposition du 6 au 16 mars 2025 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Sax met à l’honneur le charme et la poésie des toitures provençales. Les anciennes tuiles Canal emblématiques des paysages la Provence deviennent le support d’un bestiaire regroupant des animaux communs du Sud de la France.
Façonnées à la main, ces objets atypiques portent l’empreinte du temps et de la nature tout en s’harmonisant avec le style vif et instinctif de l’artiste.
Comme une invitation au voyage, l’association de la peinture aux formes et couleurs abstraites du végétal sur la terre cuite, plonge l’imaginaire dans des histoires au parfum d’été.
Vernissage le jeudi 6 février jusqu’à 21 heures Exposition du 6 au 20 février 2025 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
Une exposition en noir et blanc avec la participation de : Abys,
Bault,
Ruben Carrasco,
Dawal,
Etus,
Tom Geleb,
Horor,
Kesadi,
Eric Lacan,
Mani, Nosbé,
Tang et Malo Thubert
Autodidacte, Malo Thubert est très tôt influencé par la bande dessinée, la peinture et le graffiti, entre autres. Biologiste de formation, il trouve également son inspiration dans l'observation du monde vivant et dans l'imagerie scientifique. Il voue notamment une passion pour les amphibiens et les céphalopodes, qui nourrissent depuis toujours son imaginaire. Souvent organiques et foisonnants, ses dessins sont dans leur grande majorité réalisés sans croquis préalable, Malo préférant laisser la composition prendre forme dans une succession de gestes spontanés et quasi automatiques. Il vit et travaille en banlieue parisienne.
23.01.2025 > 02.02.2025
Primal - « Palace »
Vernissage le jeudi 23 janvier jusqu’à 21 heures Exposition du 23 janvier au 2 février 2025 du mardi au dimanche de 14 à 19 heures
« Dans le palais des émotions il y a beaucoup de chambres. »
Antoine Audouard / Un Pont d’oiseaux.
Avec cette nouvelle exposition, Primal revient sur les traces de son moyen d'expression le plus fondamental et instinctif : le dessin.
Rassemblées, autour de la ligne et du geste vif, ces compositions narratives nous ouvrent les portes d'une curieuse demeure, dans laquelle la lumière reste allumée jusqu'à l'aube.
Ce palace, sanctuaire des songes plus qu'hôtel, est une véritable introspection, où des personnages en transit, livrés à des scènes intimistes, portent les émotions les plus personnelles de l'artiste.
Chaque valise ouverte, chaque chambre visitée révèle toujours plus la poésie absurde qui lui est chère.
Rythmés par l'ombre et la lumière, Primal se réapproprie ici ses motifs et techniques les plus essentiels pour créer cette nouvelle narration.